En 2011, Max Schrems se rend compte que Facebook adopte une interprétation de la loi loin d'être correcte. Il demande alors à recevoir une copie de toutes les données que le réseau social possède à son sujet. Résultat ? Un dossier de 1222 pages reprenant des données pourtant supprimées de son compte.
La plainte transmise à l'autorité de protection des données irlandaises est jugée insuffisante pour que l'autorité ne réagisse. Il faudra attendre deux années supplémentaires pour que, à la suite de révélations sur les surveillances pratiquées par la NSA (National Security Agency), Facebook ne soit à nouveau pointé du doigt pour sa gestion douteuse des données.